Quelques informations sur Océanic
Comment les reconnaître ?
Mis à part le modèle Surcouf, que l'on identifie au premier coup d'œil, les récepteurs Océanic ont parfois un air de famille avec les appareils livrés en pièces détachées par les grands spécialistes de l'époque : Cibot, Alfar… Mais Océanic a signé sa production de diverses façons : - Un insigne " Océanic " est toujours présent sur la face avant, le plus souvent de couleur ivoire, et collé sur le panneau cachant le haut-parleur.
http://www.doctsf.com/grandlivre/\">
align=\"left\" alt=\"Océanic Surcouf 58\" border=\"0\" height=\"137\" src=\"marques/surcouf58.jpg\" width=\"200\" />Parfois la marque est moulée dans le décor, et c'est le cas de l'atypique Surcouf.
On retrouve sur certains modèles l'inscription Océanic imprimée sur le cadran. - Le carton arrière indique la marque et le modèle (appelé " type "). Mais il est parfois absent, car il était à la mode de le supprimer pour mieux aérer les récepteurs. - A l'intérieur, une étiquette est systématiquement collée sur le panneau où est fixé le haut-parleur.
Celle-ci rappelle la marque (" Océanic-Radio "), et indique le numéro de fabrication (à six chiffres). Il s'agit presque toujours d'une étiquette en papier jaune (ou jauni ?). Nous avons observé une seule exception à cette règle, sur un combiné radio-phono, à l'intérieur duquel est collé une petite étiquette métallique de couleur, représentant le bateau, logotype de la marque. Les derniers modèles se démarquent moins des concurrents : l'originalité dans le design a disparu, au profit d'un style se rapprochant de ce qui se faisait en Allemagne par exemple (robuste ébénisterie en bois sombre pour le modèle Clipper de 1958).
1987 Nokia achète Océanic
Tiré d'un article signé Jean-Michel Bourque, paru dans l'hebdomadaire La Vie du Collectionneur
2005 : Le retour d'Oceanic
Oceanic fait un retour sur le marché hexagonal après une éclipse d'une vingtaine d'années. Cette réapparition, on la doit au groupe suisse Oristano et ses deux filiales ViewVoice et SwissVoice. Ce spécialiste de la téléphonie a racheté à Nokia la marque de téléviseur afin de pouvoir commercialiser une gamme d'écrans plats (LCD et Plasma) et des produits « convergents » comme l'Ocean DVB-T 700, un téléviseur numérique, récepteur et adaptateur TNT portable.
Source : univers">http://217.174.203.118/univers-xml/index.php3?num_mod=12&prefixe=5184&visu=5125&id_doc=21945\">univers electro-menager image son multi-média
Quel point commun entre Océanic,
Akai, Sansui et Singer ?
Océanic a été achetée en 1966 par LMT-ITT, filiale française d'ITT.
LMT-ITT (et donc Océanic) a été repris par Thomson.
Thomson a cédé Océanic à Nokia.
En 1996, Nokia a cédé son activité Télévision à Semi-Tech (Global) Company, de Hong-kong.
Dans le panier : Finlux, Luxor, Salora, Schaub-Lorenz, Océanic.
Semi-Tech (Global) Company (Hong-Kong) est contrôlée par Semi-Tech Corporation, compagnie canadienne, qui a d’autres filiales :
- Akai Electric Co. Limited, qui produit tout de même 5 millions de téléviseurs par an
- Les machines à coudre GM Pfaff AG,
- Les machines à coudre Singer Co NV,
- Sansui Electronic Co Ltd
Le groupe emploie 100 000 personnes dans 120 pays…